Catégorie : Atelier

mai 8, 2020 Martine Belmon

Voilà le récapitulatif des activités proposées cette semaine par les adhérents, afin d’occuper nos journées de photographes encore confinés.

C’est donc notre dernière semaine de confinement, dans 3 jours nous pourrons à nouveau nous adonner à notre passion photographique en toute liberté… ou presque.

Il était temps, car les idées d’activité confinée se font nettement plus rares.

Mais nous avons quand même  :

Encore et toujours… le blog de Tiago

Du mardi au samedi notre ami Tiago présente sur son blog des séquences de développement d’une photo en utilisant ses outils préférés.

Proposition de Kevin Thoraval

Un petit film d’un survol de Nice par drone en cette période de confinement, vue par les yeux d’une petite fille. Très beau et émouvant :

Film « Quand je serai grande » par Almo Film


Propositions de Jean-Michel

Chaque semaine, je vous propose un livre photographie

Cette semaine une évasion en Asie du Sud-est avec : « A la rencontre du peuple vietnamien » d’ « André TORRÈS »

Mon travail photographique se fonde sur une recherche créative et esthétique. J’ai abordé quasiment toutes les techniques anciennes et nouvelles pour ne faire  maintenant que de la photographie numérique. Je n’ai pas de sujet fétiche et je passe facilement du portrait en studio au paysage ou du reportage à la création numérique. Cependant, l’élément humain est souvent présent dans mon travail. Je participe également à des salons, concours et expositions dans plusieurs pays.  En résumé, la photographie est pour moi, depuis ma retraite, une passion et une  activité à temps complet. La série présentée a été prise au Vietnam en Janvier 2009, lors d’un voyage de rencontre avec des  photographes vietnamiens, voyage qui m’a permis de trouver de nombreuses sources d’inspiration en matière de scènes de vie, de paysages et d’humain. André TORRÈS

A voir et télécharger ici : Livre Pdf A la rencontre du peuple vietnamien

 

Merci aux différents intervenants pour avoir animé ces 8 semaines de confinement.

Gardez le moral, et #RestezChezVous encore 3 jours

novembre 23, 2020 objectif

Cliquez sur une image pour ouvrir la galerie, puis faites défiler avec les flèches.

Vous pouvez commenter chaque photo en cliquant sur le symbole  en haut à droite de l’écran :   .

(Soyez patients, il peut y avoir un petit temps de réponse …).

Ce n’est pas une obligation, mais il est conseillé d’indiquer votre nom dans le champ « Your name » du commentaire.  L’ajout de commentaires n’est pas réservé aux participants, ni aux seuls membres du club : tout visiteur peut se joindre à nous et encourager cette initiative ; merci d’avance.

Vous pouvez aussi cliquer sur le « Coeur » !

Vos commentaires généraux (ci-dessous) sont aussi les bienvenus.

Merci à Albert pour cette belle contribution.

#RestezPrudents

décembre 30, 2020 J-Marc Guillemaut

Ateliers Lightroom Débutants, novembre et décembre 2020

Animée par J-Marc Guillemaut, une nouvelle formation interne a été offerte aux débutants pour une bonne prise en main du logiciel de gestion et traitement des photos : Adobe/Lightroom (version « classic »).
Confinement oblige, ces ateliers se sont déroulés à distance grâce à l’outil Zoom de visioconférence et l’abonnement du club pour ne pas avoir de limitation de durée et permettre l’enregistrement des différentes sessions.En cette fin d’année 2020, cinq séances ont eu lieu les mercredis dès 18h pour 4 participants (du 19 novembre au 17 décembre).
Après quelques soucis pour appréhender le télé-enseignement, nous avons pu voir la structure modulaire du logiciel, bien saisir la philosophie de la base de données (« catalogue ») de Lightroom, le traitement non-destructif appliqué aux images, l’intérêt des images en format brut (« raw ») plutôt que JPeG, l’indexation des fichiers (« importation ») dans la Base de Données.Les possibilités du module bibliothèque ont été explicitées grâce à un lot d’une bonne centaine d’images (fixes et vidéos), avec les classements par catégorie (cinq couleurs, de 1 à 5 étoiles, images rejetées (‘X’) ou retenues (‘P’)), la création de « collections », l’extraction d’une vue fixe à partir d’une vidéo (et son traitement basique). La fonction de recherche du module bibliothèque a été démontrée, s’appuyant sur les métadonnées enregistrées automatiquement par le boitier photo et aussi grâce aux mots-clefs attribués manuellement aux images, individuellement ou par groupe. Les deux dernières séances ont permis de se consacrer aux premiers outils du module développement, avec une première approche des fonctions d’exportation des images traitées en vue de partage ou d’impression.
Les quatre stagiaires ont droit à la trêve des confiseurs pour appliquer ces nouvelles connaissances à leurs propres images avant une reprise des formations si désiré.

janvier 25, 2021 objectif

Ce 20 janvier dernier, notre club photo a organisé une sortie au port de Nice. Ci-dessous figurent les images que nos courageux et imperméables photographes ont saisies.

janvier 10, 2022 objectif

Le 6 janvier dernier le club photo de Cagnes-sur-Mer a invité Anne-Marie Etienne pour présenter ses travaux et le logiciel IRCC utilisé par la Fédération française de photographie pour certifier les images présentées à l’occasion des concours « nature ».

Merci au président du club de Cagnes d’avoir associé notre club à cette soirée au cours de laquelle Anne-Marie Etienne a présenté son travail personnel, particulièrement en Afrique australe.

Concernant la partie IRCC, Anne-Marie Etienne intervenait en tant que commissaire nature images projetées et papier de la Fédération française de photographie. Il s’agit d’un moyen de certifier électroniquement des photos et de limiter les excès de post traitement des images.

Contacts : natureip@federation-photo.fr, nature@federation-photo.fr, dpt.compet@federation-photo.fr

Pour soumettre des images à la certification : https://www.ircc.photo

Les modalités d’utilisation du logiciel figurent dans le diaporama ci-après :

#gestesbarrières #nature #FFP

mars 3, 2022 objectif

POURQUOI ?

C’est une procédure à employer quand la scène est trop contrastée, donc lorsque les conditions de lumière sont telles qu’il y a trop de dynamique pour le capteur, c’est-à dire que l’appareil photo ne pourra pas capter de détails à la fois dans les zones très sombres et les zones très claires : il y aura sous-exposition ou bien surexposition de parties de l’image, voire les deux.  Cela se voit dans le viseur avec les indicateurs de sous et surexpositions, et bien sûr dans l’histogramme si la courbe remonte trop sur les bords.

Un exemple classique est une cathédrale bien sombre avec de magnifiques vitraux illuminées par le soleil.

Dans ces cas de scènes à Grande Amplitude de Luminosité (HDR = High Dynamic Range pour Grande Amplitude Dynamique), on réalise plusieurs expositions pour tenir compte soit des hautes lumières, soit des basses lumières.

COMMENT RÉALISER LES PRISES DE VUE ?

Toujours en mode « priorité à l’ouverture » (A = « aperture ») pour une profondeur de champ identique pour chaque image.  Idéalement avec un trépied pour le meilleur recouvrement possible et en mode « rafale » pour limiter le déplacement des nuages, branchages ou personnages.  C’est la vitesse d’obturation qui varie d’un cliché à un autre.

Enregistrement des fichiers en mode brut =(« raw ») de préférence au JPeG qui est utilisable quand même.

On peut avec mon boitier programmer un bracketing automatique de 3, 5 ou 7 images, avec un décalage d’exposition de 2 ou bien 3 diaphragmes (IL = Indice de luminosité ou EV = exposure value en anglais) de part et d’autre de l’image exposée normalement (avec les réglages initiaux). Cette dernière image n’est pas utile au processus HDR d’après Gilles Théophile.

En effet, d’après les concepteurs de Lightroom, il suffit de deux clichés, exposés l’un pour les zones claires (le ciel par exemple), l’autre les zones sombres (le sujet à contre-jour par exemple) pour obtenir d’excellents résultats.

Rien ne vous empêche de faires des essais naturellement.

En pratique, je travaille à main levée et mon bracketing automatique va non seulement faire varier la vitesse de prise de vue mais aussi les ISO quand nécessaire pour éviter des vitesses trop basses pour une tenue à main levée.

LOGICIELS D’ASSEMBLAGE

Il y a pléthore de logiciels permettant de fusionner les images en post-production (Capture One, Luminance HDR, Picturenaut 3, FDRTools (= Full Dynamic Range Tools), Nik HDR Efex pro, Photomatix Pro, EasyHDR, ….) ; certains sont gratuits.  En poussant trop loin certains curseurs, il est possible d’obtenir des images surréalistes, ce qui n’est pas notre propos ici.

Adobe permet l’assemblage HDR, avec Photoshop et Lightroom mais avec des algorithmes un peu différents, ne donnant pas des résultats identiques.

Photoshop propose plusieurs réglages de paramètres d’assemblage via : Fichier / Automatisation / « Fusion HDR Pro » (c’est à côté de « Photomerge »), notamment « Supprimer les décalages ».

Avec Lightroom, sélectionner l’ensemble des images à assembler, puis faire <CTRL><H> ou bien : « Photo / Fusion de photos / HDR » (voire « Panorama HDR ») : Il y a diverses options ; Je choisis en général « Alignement automatique » (car pas de trépied en général), « paramètres automatiques » (sinon, ceux-ci seront basés sur l’image de référence de la sélection) et aussi « afficher l’incrustation de la correction des décalages » pour définir une correction Nulle, Faible, Moyenne ou Élevée (élimination des images fantômes).

Le processus HDR ne tient pas compte de nombre de corrections des images de départ comme Courbe de tonalité, Corrections locales, Recadrage, Transformation (mise d’aplomb).

Le résultat est un fichier « Digital Negative » (DNG) permettant des retouches poussées, car le curseur « exposition » varie maintenant de -10 à +10 diaphragmes, au lieu de -5 / +5 pour les fichiers de base.

Le nom de fichier est associé à l’image de référence (celle affichée avant la fusion).  Il en va de même pour les assemblages panoramiques, bien entendu.

La fusion HDR se fait en 32 bits, mais le DNG obtenu est un fichier 16 bits à point flottant, le meilleur compromis (selon Gilles Théophile) entre qualité et latitude de correction et taille de fichier.

La taille du fichier DNG obtenu est assez grande, 80 Mo dans le cas d’assemblage de mes images « raw » à 16 Mo chacune (sur 12 bits), ce qui est assez normal car on a beaucoup plus de « matière » dans le fichier résultat.

EXEMPLES d’Assemblages HDR (High Dynamic Range)

#gestesbarrières #masques #hdr #basseslumieres #hauteslumieres #bracketing

mars 30, 2022 objectif

INTRODUCTION

Ce soir nous allons au-delà de Lightroom qui permet de remplacer une partie de l’image, par exemple pour effacer une poubelle ou bien une crotte au milieu de la pelouse.

L’abonnement Adobe pour Lightroom permet de disposer des outils de retouches plus puissants de Photoshop et nous allons créer de l’image à l’extérieur de la photo qui a été prise.

OUTIL LIGHTROOM : SUPPRESSION DES DÉFAUTS

Très rapidement, sur un mauvais exemple de poubelle : sa suppression mais avec perte de la tête du mouton qui était caché derrière, et beaucoup moins visible, remplacement par de l’herbe du mouton en avant-plan.

Avant

Après

OUTIL PHOTOSHOP : REMPLISSAGE DE l’EXTÉRIEUR DE L’IMAGE

Pourquoi ?

Je fais souvent des diaporamas (avec le programme PTE AV Studio) pour affichage sur ma télé en 16/9.  Mes images sont prises au format 4/3 (donc 16 /12) et je dois donc couper le haut et/ou le bas de l’image pour que ça rentre (ou bien accepter des bandes verticales noires de part et d’autre).  Ce n’est pas toujours souhaitable. 

Autre cas de figure avec utilisation d’un passepartout standard de 28 x 35 cm, pour des cadres Nielsen 40×50 cm par exemple, donc un ratio 5/4 (= 1.250) pour l’image visible.  Nécessité de couper des bords de l’image là aussi.

De même si la partie de l’image qui serait masquée par le passe-partout (5 mm tout autour) est à préserver et montrer.

Comment ?

Je peux « inventer » la partie manquante, ce que personne ne remarquera dans le diaporama où chaque image s’affiche seulement pendant quelques secondes.  Pour de petites zones périphériques de l’image sous cadre, cela ne se voit pas non plus (dans les cas favorables !).

Je passe alors dans Photoshop, directement depuis Lightroom (« modifier dans … ») avec l’image déjà éditée éventuellement pour faire un « remplissage, contenu pris en compte ».

Il faut d’abord créer un calque pour avoir en transparence la partie d’image à recréer.

Sélectionner « Calque », puis « Dupliquer le calque » avec l’arrière-plan qu’on va ensuite ne plus montrer (dans l’onglet « Fenêtre » afficher celle des « Calques », et éteindre l’œil du calque « Arrière-plan »).

Choisir une nouvelle taille pour l’image agrandie : par exemple, une hauteur de 3888 pixels (fichier de 20 Mpix) doit correspondre, en 16/9 (=1.7778), à 6912 pixels pour la partie horizontale agrandie.

Pour mes fichiers plus anciens (16 Mpix en 2015) : 4608 x 3456 pixels.  Donc 6144 pixels dans ce cas.

Pour le cas extrême d’une image verticale en 2546 x 3879, la dimension horizontale devient : 3879 x 16 / 9 = 6896.  Il faut alors progresser par étapes autour de l’image existante.

Avant

Après

Sélection des deux bandes latérales transparentes à remplir avec le pinceau magique (en une fois ou bien progressivement autour de l’image en s’écartant, dans les cas moins évidents ; dans ce cas, faire « Fusionner les calques visibles »).

Puis « Sélection / Modifier / Dilater » pour ajouter qq pixels, et éviter une transition visible.

Enfin, « Edition / Remplir / Contenu pris en compte ».  Ne pas hésiter à utiliser l’outil « Tampon » si nécessaire pour peaufiner.  Sauvegarder et retour dans Lightroom.

Avant

Après

Photoshop a permis (1) de supprimer une partie des personnages sans intérêt et (2) de combler le manque à l’extérieur de l’image, ici affiché avec une opacité réduite pour montrer la zone nouvelle.

Avant

Après

Résultat final

#gestesbarrières #abstrait #séries #photographie #remplissagebords

mai 11, 2022 objectif

INTRODUCTION

Ce soir sera ma dernière présentation de la saison pour mes « astuces Lightroom ».

Je vais revenir sur la fonction « base de Données » et l’affichage des différentes métadonnées.

Ensuite parler des différentes façons de renommer, ou pas, ses fichiers image.

Et finalement, suite à une question, montrer comment synchroniser les dates de plusieurs boitiers.

Des explications ont ensuite été données sur la manière de permettre à Lightroom d’accéder de nouveaux à des fichiers qui ont été déplacés avec l’explorateur de fichier, ou bien renommés ; mais il est rappelé qu’il est fortement conseillé de gérer les emplacement des fichiers (création de dossier et/ou changement de nom de dossiers ou fichiers) à l’intérieur de Lightroom et non pas avec l’explorateur de fichier de Microsoft.

FILTRES DE LA BIBLIOTHÈQUE

Dans ma bibliothèque Lightroom, j’ai des photos depuis 1999, avec un total de plus de 200 000 fichiers (images fixes et vidéos).

Grâce aux mots-clés enregistrés lors de l’importation, il m’est très facile de rechercher toutes les photos d’anniversaire par exemple.  Taper « G » pour passer en mode Grille du module Bibliothèque, puis « CTRL/F » pour les Filtres (cf. la commande « Find », pour chercher des fichiers ou du texte).

Si je suis tenté par l’achat d’un nouvel objectif plus lumineux, ou bien d’une focale fixe spécialisée, je peux facilement me rendre compte de l’utilisation de mon objectif zoom par exemple pour trouver les focales les plus employées ainsi que les ouvertures associées à certaines sensibilité ISO.

Il y a un choix de 8 paramètres affichables (maxi), parmi 33 métadonnées.  C’est combinable avec les critères de tri sur le nombre d’étoiles attribuées et les libellés de couleur.

Ne pas oublier de sélectionner le critère de tri = « Sans » pour le désactiver, avant de quitter le module.

Quelques exemples :

NOMS DE FICHIERS

Les noms génériques donnés par l’appareil photo ne sont pas toujours très informatifs, par exemple :

« Image » = IMG_0001 chez Apple (iPhone), Canon ; « Digital Still Camera » = DSC_0001 chez Fuji, Nikon, Sony.

« Picture » ou « P » chez Panasonic avec P10000000, ce qui donne beaucoup plus chiffres pour le numéro de séquence.

Chez Olympus, c’est P5090001 (pour ce lundi), donc 4 chiffres dans le numéro de séquence avec ici « 5 » et « 09 » pour le mois et le jour de la prise de vue. L’initiale « P » (« Picture ») peut être remplacée par la lettre de son choix, une différente pour chacun de mes appareils photo de cette marque.

Si le format du JPeG enregistré est Adobe-RGB, il y a un tiret de souligné (le « tiret du 8 ») comme initiale.

Pourquoi renommer ou pas les fichiers ?

Si on utilise plusieurs appareils photo (ou bien si on importe les photos des copains), on peut facilement se retrouver avec de multiples fichiers au nom identique come PICT_0001, surtout si le boitier réinitialise la numérotation aux changements de carte mémoire notamment : il vaut mieux préférer de continuer la numérotation.

Cela n’a pas d’importance si on utilise Lightroom pour gérer les fichiers, par exemple dans des collections en fonction des dates et des métadonnées : le nom du fichier est alors sans importance.

Personnellement je préfère avoir un nom unique pour chacun de mes fichiers, et je fais précéder la nomination Olympus par les 4 chiffres de l’année : 2022-509X1234 (« X », c’est mon dernier boîtier) ; le numéro du mois est sur un seul chiffre de 1 à 9, puis de A à C pour oct/nov/déc.  J’ajoute un texte identifiant les ensembles de prises de vue comme « Amsterdam », « Anniversaire Claire » dans les noms de dossiers où figure toujours le libellé Année-Mois-Jour (2022-05-09 Sortie club O I ») en en-tête.  C’est mon choix car cela me permet un tri chronologique automatique avec l’explorateur de fichiers.

Divers choix de noms de fichier

(0)  https://mastering-lightroom.com/renaming-photos-lightroom/

Le photographe anglais Andrew S. Gibson propose de nombreuses formules pour les noms de baptême.

« andrewsgibson-20131012-SeancePhoto-001.jpg » plutôt que « 0001.jpg » bien trop succinct.

(1) andrewsgibson_20131012_jaineportraits_0001.dng  [Matthew Campagna, at The Turning Gate]

(2) https://www.peachpit.com/articles/article.aspx?p=1930506&ranMID=24921 1310_jaineportraits_001.dng [Scott Kelby : avec l’année (2 chiffres) et le mois]

(3) https://www.adobepress.com/articles/article.asp?p=1843394&seqNum=7

VogueItalia_ 131012_0001.dng [Martin Evening : avec le nom du client]

(4) 20131012_islandbay_193022.dng  [Gavin Gough : avec le lieu et aussi la datation horaire en fin]

20131012_VogueItalia_193022.dng [variante avec le Client plutôt que le Lieu]

Comment Renommer les fichiers avec Lightroom ?

On peut utiliser des programmes utilitaires comme IrfanView, FastStone et d’autres.

Avec Lightroom, cela peut se faire à trois étapes, au choix :

(1) Directement lors de l’importation des images vers le catalogue

dans le menu « Importer des photos et vidéos », choisir « Renommer le fichier » et prendre le « modèle » désiré, éventuellement pour le modifier et l’enregistrer.

(2) Après les avoir importés dans le catalogue de Lightroom

passer en mode « G » (Grille) : Bibliothèque / renommer la photo ; Choisir parmi les propositions ou bien créer son modèle et le sauvegarder avec un nom.

(3) Au moment de l’exportation des images traitées

Menu « Fichier / exporter » et choisir un « paramètre prédéfini » ou bien créer le sien.

C’est l’endroit idéal pour générer les fichiers à apporter ici, avec la nomenclature demandée :

« JMarc-Ph_Nuit-001.jpg » par exemple.

Quelques référence (en anglais) :

dont une sélection des articles les plus suivis :

https://mastering-lightroom.com/category/all-tutorials/ dont une sélection des articles les plus suivis

https://mastering-lightroom.com/popular-lightroom-classic-tutorials

Le guide pour renommer les photos. Traduction du guide

MODIFICATION DES DATES DE PdV

Si on utilise plusieurs boitiers pour la même séance de photo, il y a souvent un décalage dans les dates de prises de vue.  Lors de voyages, il peut arriver qu’on oublie de changer le fuseau horaire de son boitier.  Lightroom permet de synchroniser les boitiers en corrigeant les heures de capture associée aux images.

Cela peut se faire pour une image particulière, ou – le plus souvent – pour un groupe d’images qu’il convient de sélectionner ensemble.

Dans le module Bibliothèque / Métadonnées, choisir « Modifier l’heure de capture ».

(1) « Réglage sur une date et une heure spécifique » : on indique l’heure corrigée avec le jour et/ou les heures minutes et secondes désirées. Puis « modifier toutes les dates » en ayant choisi la « Syncro Auto » dans le panneau de droite.  Avec un tri par « heure de capture », les images des différents boitiers retrouvent leur place chronologique avec la bonne séquence.

(2) « Décaler d’un certain nombre d’heures (réglage du fuseau horaire) » permet d’indiquer simplement le décalage de fuseau horaire (+3 heures, par exemple) dans le cas d’un boitier unique ou d’horloge bien réglée.  Lors du passage : heure d’été / heure d’hiver, cela peut s’avérer utile aussi.

(3) « Remplacer par la date de création du fichier pour chaque image » permet d’annuler les changements de date et de revenir à la date originale du fichier.

#gestesbarrières #bibliothèque #lightroom #photographie #renommage #catalogue

juin 22, 2023 objectif

Diaporama sur le thème « Transformations ». Consulter le diaporama ou cliquer sur l’image.

3 films résultats de l’atelier animé par Albert. cliquer sur les imagettes pour visionner les fims

Bilan ateliers noir et blanc, architecture par Tiago.

Bilan atelier Photoshop 2 par Jean-Luc.

Bilan atelier travaux d’éclairage studio par Serge.

octobre 13, 2023 objectif

Le 09/10/2023, à l’occasion de la réunion bimensuelle, Tiago a présenté ses solutions pour le traitement noir et blanc avec Lightroom. Merci à lui.